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Munduk (Bali)

06 Juillet 2010

Grenier traditionnel

Munduk, notre grenier traditionnel


Munduk est située dans le Kabupaten de Buleleng, au sud-ouest de Singaraja, le chef-lieu. C'est une résidence créée par des planteurs hollandais, et à ce titre le seul groupe significatif de constructions coloniales à Bali. Notre chambre est lovée dans un grenier traditionnel au milieu d'un jardin paradisiaque et à flanc de montagne. On ne peut pas dire que l'environnement est calme: clapotis de la petite rivière toute proche, grenouilles, grillons, geckos et autres drôles d'animaux nous font un concert très agréable mais quasi permanent. Nous restons à Munduk jusque dimanche.

Banjar et Gitgit (Bali)

06 Juillet 2010

Bain, spiritualité, cultures

En enfonçant le clou... de girofle


Dans la région des montagnes, le climat et l'irrigation permettent la culture de nombreuses plantes. On découvre ainsi, au gré du voyage, des cacaotiers, des caféiers, des bananiers, des cocotiers, des haricots, patates douces, vignes, ...

On peut vraiment parler de terre nourricière à Bali


Sur les photos de l'album, on peut voir la récolte des clous de girofles. Le giroflier est un arbre magnifique. Les personnes qui récoltent le clou de girofle sont souvent des immigrés javanais pauvres. La récolte est vendue par arbre et un arbre vaut 200 000 rupiahs(19€). Les hommes grimpent sur des longs bambous et récoltent directement dans l'arbre tandis que femmes et enfants ramassent tout ce qui tombe. Rien n'est perdu à tel point qu'on balaie le sol à la fin de l'opération.
Le clou est ensuite séché sur le bord de la route, souvent en compagnie de graines de cacao.

Les sources d'eau chaude de Banjar


Trois bassins d'eau chaude aménagés pour la relaxation, voilà ce que proposent les sources de Banjar issues des roches volcaniques de la montagne et que l'on appelle localement Air Panas. Dans un écrin de verdure, le bassin central offre un bon compromis pour nager à volonté dans ces eaux d'un vert clair opaque d'où se dégagent des vapeurs soufrées. A l'extrémité du bassin, de superbes têtes de lions sculptées font office de becs déverseurs sous lesquels il est bon de se placer. En haut du terrain, un petit bassin rectangulaire encore plus chaud permet juste de laisser deux personnes s'asseoir face à face pour se détendre sur les sièges de pierre taillés à même le bassin. Un troisième permet juste de se placer sous des filets d'eau tombant de si haut que l'impact de l'eau sur la peau se révèle être un véritable massage bienfaisant. Et bien, on en a bien profité. Au retour, vous verrez notre peau toute verte avec des écailles. ;)

Le monastère bouddhiste de Banjar


Perché au sommet d'une colline, le monastère bouddhiste de Banjar est impressionnant avec ses salles emplies de statues dorées, d'offrandes et d'encens. A la base, ce n'est pas un lieu touristique et il faut donc respecter quelques règles comme se couvrir les jambes et les épaules, avant de pénétrer dans l'enceinte. Ceci fait, il nous a été possible de déambuler tranquillement dans les jardins et les diverses salles dans lesquelles se pratiquent des séances de vipassana, une technique de méditation dépouillée, basée sur la respiration.

Les cascades de Gitgit


C'est vers 17h30 que l'on arrive aux célèbres cascades de Gitgit. Cette chute d’eau qui est avec ses 40 mètres la plus haute de Bali est assez impressionnante, surtout dans la saison des pluies, de janvier à mars. En juillet, c'est pas mal non plus hein, elle n'est pas à sec. Le long du sentier qui mène aux cascades, de nombreux marchands sont sencés proposer leurs marchandises de manière assez folklorique, mais comme il est déjà tard, non seulement on ne paie pas l'entrée (Comme partout, les fonctionnaires sont déjà en pause), mais en plus la plupart des échoppes sont closes (porte en métal bloquée par un simple gros caillou, ils ont confiance à Bali). La popularité de Gitgit a mené à la découverte d’autres chutes d’eau dans les environs que l'on visitera lors d'un trekking samedi matin.

Les lacs de Bunyan, Tamblingan et Bratan (Bali)

05 Juillet 2010

De Baturiti à Munduk: où notre guide redevient un guide

Aujourd'hui, on quitte Baturiti définitivement pour nous rendre à Munduk où on reste jusque dimanche. Sophie n'est pas au rendez-vous. Pas de panique, on attend. Dans le coin, là, il y a deux balinais qui nous regardent avec insistance... et si... Ben oui. Sophie n'a pas pu venir, il faut dire qu'elle a un bébé de 3 mois. Alors, c'est Ketut qui la remplace. Pas de problème. On lui explique rapidement ce qu'on veut faire et ça lui convient aussi. Alors en route. Ketut sera notre guide sur une grande partie du voyage. Un guide remarquable de gentillesse et de disponibilité. Son chauffeur, qui est de la caste des prêtres ne parle pas français mais est vraiment adorable. De plus, c'est un vrai puits de savoir au sujet de son pays.

Le marché traditionnel


Ketut nous propose de nous arrêter dans un marché traditionnel. Il est tôt encore, il n'y a quasi personne. Il faut savoir que faire ses emplettes dans Bali ne se résume pas à entrer dans un magasin, prendre un objet sur l'étagère, payer et sortir. Les achats sont tout un art. Dans chaque marché traditionnel ou magasin d'art à Bali, on fait ses emplettes en 'bargainant' (négociant). Cette manière traditionnelle fait du shopping à Bali un moment amusant, où on peut sentir la chaleur de la valeur humaine dans chaque transaction.
Evidemment, chaque maraîcher tente de nous vendre un truc et jamais cher. On sait bien qu'on a une bonne tête de touriste hein. "Thank you" par ci "Teri ma casi" (merci) par là etc. jusqu'à ce qu'une petite futée nous propose l'achat de 20 bâtons de vanille au prix merveilleux de 350 000 rupiahs. On bargaine en baragouinant un peu d'anglais, on arrête la transaction à 60 000 (5€) et on s'en va. C'est dans la poche, on a gagné et c'est un bon prix d'après le guide et un balinais qui essaie de nous caser des montres. Ils sont sans doute un peu de mèche mais ça nous semble correct. Plus loin, Ketut nous fait entrer dans une boutique de plantes et là, on se rend compte du merveilleux climat de l'île, les fleurs sont magnifiques et les plantes que l'on trouve chez nous sont, ici, beaucoup plus développées.

Trekking aux lacs de Bunyan et Tamblingan


Après avoir suivi une route qui serpente dans la montagne et passés à côté d'inévitables singes à la coupe en crête, on arrive à un point culminant qui surplombe les lacs de Bunyan et de Tamblingan. La vue est magnifique, les lacs, les montagnes, la végétation et la lumière... Un local nous guide dans la forêt tropicale. Les arbres sont énormes et la végétation est touffue. Le chemin est pentu et glissant. Au bout d'une heure de marche, on arrive au lac et son inévitable temple. En touriste respectueux (les quelques autres présents sur les lieux n'avaient pas le même respect), comme on n'a pas de sarong, on n'entre pas dans les espaces sacrés et c'est de l'extérieur que l'on découvre le temple qui est dédié aux forgerons. Il est assez récent.
C'est le moment de la pause mandarine proposée par notre guide local quand tout à coup, sorti de nulle part, apparaît un cortège de personnes en habits et portants offrandes sur la tête. C'est une cérémonie funéraire et ils se rendent dans un autre temple sur l'autre lac pour honorer les dieux.
Durant la fin du parcours, on découvre encore un temple en pleine végétation. Traînant toujours à l'arrière, je suis d'ailleurs le seul à le voir. La promenade se termine dans un champ de mandariniers.

Pura Ulun Danu Batur sur le lac Bratan


Le Lac Bratan est le deuxième plus grand lac de l´île de Bali. Il se trouve à plus de 1000m d´altitude, c'est un ancien cratère de volcan qui s´est rempli d´eau.
Autour du site sacré de Batur sont érigés quatre temples remarquables dont le plus majestueux est le Pura Ulun Danu Batur consacré à la déesse du lac, souveraine des eaux de Bali, qui s'allia à la divinité du Mont Agung pour rendre l'île fertile. Si le temple était à l'origine situé près du lac et de l'actuel Pura Jati, il fut détruit lors de l'éruption de 1926 et reconstruit plus loin pour lui éviter d'autres éventuels malheurs. A son ancienne place a été laissé un tout petit temple pour permettre tous les 10 ans de faire les offrandes nécessaires à la déesse du lac.
Avant d'entrer dans le temple, on a fait le tour des Warangs. Les Warangs sont des petits restaurants souvent tenus par des javanais (non pas le dessert mais l'habitant de Java. Ils n'ont pas de travail là-bas, alors, ils émigrent à Bali). Conseillé par Tekut, on en choisit un et on déguste un succulent plat composé de poulet et de légumes dans une sorte de soupe accompagnés de riz (évidemment) et d'un rafraîchissant jus de strawberries. 100 000 rupiahs à trois, faites le calcul.

Munduk


Le soir va tomber, il est grand temps de rejoindre notre hôtel à Munduk. Dans le village suivant, le temple est fêté. Chaque temple balinais est fêté tous les six mois. Les gens viennent de loin à mobylette, en camion mais aussi à pied, habillés en costume traditionnel et apportant des offrandes. On arrive juste à la fin de la cérémonie et c'est l'embouteillage.
Le chauffeur est inquiet, il n'a plus d'essence et partout où il s'est renseigné, les cuves sont à sec. A Bali, pour faire le plein, il y a deux solutions, soit on va à la pompe, soit, on s'arrête à une échoppe au bord de la route quand on voit des bouteilles remplies d'un liquide jaunâtre ou quand il est écrit "Bensin". Alors, on les a tous faits et ils étaient tous à sec. Heureusement, on a fini par arriver à l'hôtel où nous avons découvert notre grenier typique. En effet, le pavillon qui abrite notre chambre a la même architecture que le grenier des maisons balinaises.
Une petite promenade dans le domaine nous fait découvrir un magnifique jardin rempli de plantes plus belles et odorantes les unes que les autres comme le giroflier et le cacaotier. Quelques étangs et cascades ajoutent à ce lieu un sentiment de tranquillité et de calme. Du balcon de notre pavillon, on a une vue sur la montagne et les oiseaux, grenouilles et cigales nous font un concert de bienvenue. Même si la chambre est un peu moins confortable qu'à Baturiti, le cadre et l'originalité nous enchantent.

Sangeh - Tanah Lot - Taman Sayun (Bali)

04 Juillet 2010

Quand notre guide francophone est... une guide.

Jusqu'à présent, tout s'est déroulé parfaitement. Les hôtels sont réservés et nos premières visites merveilleuses.
Depuis trois mois, je suis en contact avec des guides balinais qui parlent français. Finalement, on en a gardé deux. Un pour la première semaine et un pour la seconde. Le premier, Tituk, voulait que je lui donne le nom de l'hôtel où nous logerions. Logique. Seul hic... Balicontact avec qui j'ai réservé les deux premiers hôtels ne nous donnerait le nom qu'à l'arrivée à Denpasar. Immédiatement, j'ai envoyé un mail à Tituk qui ne m'avait plus donné de nouvelles depuis trois semaines. Finalement, dimanche soir, un email nous prévient qu'il serait à l'hôtel lundi à 8h30. Et, à 8h30, pas de Tituk mais sa femme, Sophie. C'est pas plus mal. Dès les présentations faites, on lui explique ce qu'on veut faire et en avant, son chauffeur nous emmène.

La forêt des singes de Sangeh


Elle se trouve près du village de Sangeh, à environ 20 km au nord de Denpasar. Cette forêt luxuriante d’environ 6 hectares est pleine d’arbres géants, de muscadier, qui peuvent atteindre 40 mètres de hauteur. L’attraction principale, ce sont les nombreux singes balinais qui habitent dans les arbres ainsi qu’au temple, le Pura Bukit Sari, situé au milieu de la forêt. Un vrai régal ces singes. Ils sont très tolérants à l’égard des gens mais sont réputés pour voler la nourriture, les lunettes de soleil et tout autre objet scintillant. Alors, quand après dix secondes, nous en avions chacun un sur la tête, on en tirait une drôle... de tête. Mais ça va, dès qu'on a épuisé le stock de cacahuètes achetées pour ces drôles, ils ne s'intéressent plus du tout à nous. Ils se grattent, s'épouillent, se taquinent... Des singes quoi.
Un peu plus loin, on découvre des chauves souris géantes. Approchées à moins de 30 centimètres, elles restent dociles comme tout. Drôle de bête, très intrigantes.
Pour cette visite, nous devons être obligatoirement accompagnés par une dame qui nous a guidés mais elle n'est pas payée et finalement, elle nous a présenté sa boutique de vêtements. Un petit pourboire a été le bienvenu. Durant toute la visite, elle a été aux petits soins avec nous et surtout toujours très souriante.

Le marché de Tabanan


Un peu plus loin, on découvre avec Sophie le marché traditionnel de Tabanan . On ne l'aurait jamais trouvé. De tous petits couloirs cachés en front à rue entre deux magasins nous y mènent. Derrière, c'est un dédale de passages et d'échoppes où on trouve de tout. Légumes, tissus, paniers, bijoux, couteaux... C'est un vrai petit monde qui vit là. On y coud, découpe, tranche, tisse, décore... On nous fait goûter de tout avec le sourire. Il faut marchander même quand on n'achète que 100 grammes de légumes mais de toutes façons, les touristes paient plus cher.

Pura Tanah Lot


On reprend la voiture, le gardien des parkings, contre quelques rupiahs, bloque la circulation de mobylettes pour nous permettre de passer. On croyait avoir tout vu en matière de conduite en Egypte mais ici, les panneaux, les lignes sur le sol... ce n'est que de la décoration. Le seul truc qui fonctionne, c'est le klaxon.
On descend vers le sud et donc la mer et ça se sent. On arrive alors à Pura Tanah Lot. Ce temple demeure avec Besakih et Ulu Watu le temple le plus visité de Bali. La légende veut qu’il ait été édifié par Danghyang Nirartha, le grand prêtre de Java-Est qui aurait été saisi par la beauté du site. Il est vrai que la côte, avec ses rochers et ses vagues déchaînées, présentent un aspect sauvage qui met en valeur le magnifique temple de Tanah Lot.
Après la visite, Sophie nous emmène dans un restaurant où on goûte du poisson cuit dans la feuille de bananier et du poulet, le tout avec du riz balinais bien sûr. Et surtout, on boit à la paille le lait d'une énorme noix de coco. Ca c'est excellent.
Repus, on continue vers Mengwi et son temple.

Taman Sayun


Constamment enrichi et restauré depuis sa fondation au XVIIe siècle, le Taman Sayun est le temple de la famille royale de Mengwi. Entouré de larges douves peuplées de nénuphars, on y accède par un pont, puis il faut franchir une porte monumentale qui donne accès à un paisible jardin. Au fond du temple se trouve la deuxième enceinte et ses élégants mérus alignés. Le plus remarquable est celui dédié au Mont Agung avec ses 11 toits (le plus grand nombre possible, donc le plus saint). Les autres mérus sont dédiés au Mont Batur, à la déesse Sri (déesse du riz) ou aux dieux ancestraux du royaume Majapahit (qui colonisa Bali au XIVe siècle)... De nombreux pavillons, cérémoniels ou pratiques sont dispersés dans toute l'enceinte sacrée du temple. Le Taman Sayun est un lieu agréable à visiter, où le calme des éléments, les équilibres architecturaux et l'espace incitent à la méditation....
Voilà une bonne journée de passée. A l'hôtel, on a encore trouvé un peu d'énergie pour descendre une dernière fois jusqu'à la rizière. On y a rencontré aussi deux sympathiques Toulousains en lune de miel. Le soir, l'hôtel s'est rempli de japonais qui n'avaient rien de mieux à faire que de s'interpeller de balcons en balcons par de tonitruants "Hallo".
Il est temps de préparer nos bagages car demain, départ pour Munduk où un pavillon traditionnel nous attend.

Jatiluwih (Bali)

03 Juillet 2010

Une première visite très dépaysante.

Jatiluwih et Pura Luhur Batukau


Le premier jour, nous n'avions pas de guide réservé. L'hôtel nous a gentiment conseillé un chauffeur que nous avons dare dare appelé. il ne parlait pas du tout français alors nous avons baragouiné en anglais et il nous a conduit partout où nous avions programmé d'aller. Cette première journée de visite s'est avérée fantastiquement dépaysante.

Les rizières de Jatiluwih


Les authentiques et les plus fertiles rizières en terrasse de l'île. "Jatiluwih" veut dire "absolument merveilleux", une destination à privilégier à Bali. Les rizières en terrasses offrent des paysages remarquables et de magnifiques vues. Elles se déroulent du pied de la montagne jusqu'à la côte et sont encerclées par une fraîche atmosphère à 700 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Une merveille du monde, de magnifiques points de vue et des habitants très simples et accueillants. Chacun s'évertuant à nous saluer d'un "Hello" prolongé par un merveilleux sourire. Nous sommes descendus dans la rizière et avons pris toutes les photos que l'on souhaitait. Les balinais adorent poser pour la photo.

Le temple Pura Luhur Batukau


Le Pura Luhur Batukaru est un des temples les plus sacrés de Bali. Sur les flancs de la montagne Batukau, au coeur d'une végétation luxuriante, ce temple dégage une simplicité qui pousse à la spiritualité. Il constitue l’un des six temples axiaux de Bali. Le sanctuaire le plus important avec son meru à sept étages est dédié à Mahadewa, le dieu du Batukau qui représente l’ouest. L’environnement est fabuleux. Le temple est sacré et donc, obligation de porter le sarau...
Tous les six mois environ, les balinais fêtent l'anniversaire de la construction du temple. Les balinais dépensent une très grande partie de leur temps et de leur argent à célébrer les dieux dans tous les temples. Comme il y en a à tous les coins de rue, il y a de fortes chances pour que l'on tombe sur une cérémonie.

La maison balinaise microcosme de l'univers hindo-balinais


Sur le retour, nous nous sommes arrêtés au village de Batiluwih et notre chauffeur nous a laissés vagabonder à notre gré. Apparemment le village est composé d'une route principale et de chaque côté de routes secondaires... c'est ce que nous croyions. En réalité, chacune de ces routes mène dans une maison. Nous nous sommes retrouvés plus d'une fois à l'intérieur d'une maison sans le savoir. La maison balinaise est un regroupement de pavillons aux fonctions bien définies et du temple familial regroupés entouré d'un mur d'enceinte en pierres ou en briques. A l'intérieur de l'enceinte, on trouve un temple domestique et un minimum de six pavillons (cuisine, grenier à riz, chambre, abri, pavillon cérémoniel, pavillon funéraire). La place des pavillons est déterminée et s'articule selon l'orientation Agung-mer, le temple se trouvant dans l'angle le plus pur, vers la montagne, tandis que la cuisine et ses impuretés se trouve à l'opposé vers la mer.
Retour à l'hôtel.