Kôm Ombo (Egypte)
03 Novembre 2009
Kôm Ombo dédié au culte des dieux Sobek et Haroëris.
Nous avons déjà parcouru plus de 160 kilomètres vers le sud depuis Louxor et c’est de nuit que nous abordons les rives du temple de Kôm Ombo. C’est un ballet assez impressionnant mais bien organisé de bateaux accostant au plus près de l’accès principal. Alors que la nuit est déjà tombée, le site est entièrement éclairé et les constructions se reflètent joliment dans les eaux du fleuve « sacré ».
Datant de la période des pharaons Ptolémée et modifié sous le règne des empereurs romains, le temple de Kôm Ombo est le seul à être composé de deux sanctuaires dédiés à deux divinités : Sobek, le dieu crocodile et Horus, le dieu faucon. Les colonnes du temple de Kôm Ombo sont surmontées de chapiteaux aux différentes formes. Certaines sont surmontées d'un simple parallélépipède tandis que d'autres plus élaborées sont dites palmiformes puisque leur chapiteau représente des feuilles de palmier.
Une des scènes gravées sur le mur de l’enceinte est très rare et très révélatrice des connaissances des égyptiens : une liste d’instruments médicaux et de chirurgie.
Aux abords du temple, nous découvrons également une excavation qui servait à mesurer la hauteur du Nil.
Petite anecdote : notre chien a la particularité d’avoir les yeux comme maquillé de noir à la façon du khôl des anciens égyptiens. Nous l’avons appelé Sobek, nom de la divinité à tête de crocodile maître des eaux où la présence de crocodiles était pour les égyptiens l’annonce d’une crue favorable. Il deviendra ensuite un dieu important dans le panthéon sous le nom de Sobek-Rê.
Datant de la période des pharaons Ptolémée et modifié sous le règne des empereurs romains, le temple de Kôm Ombo est le seul à être composé de deux sanctuaires dédiés à deux divinités : Sobek, le dieu crocodile et Horus, le dieu faucon. Les colonnes du temple de Kôm Ombo sont surmontées de chapiteaux aux différentes formes. Certaines sont surmontées d'un simple parallélépipède tandis que d'autres plus élaborées sont dites palmiformes puisque leur chapiteau représente des feuilles de palmier.
Une des scènes gravées sur le mur de l’enceinte est très rare et très révélatrice des connaissances des égyptiens : une liste d’instruments médicaux et de chirurgie.
Aux abords du temple, nous découvrons également une excavation qui servait à mesurer la hauteur du Nil.
Petite anecdote : notre chien a la particularité d’avoir les yeux comme maquillé de noir à la façon du khôl des anciens égyptiens. Nous l’avons appelé Sobek, nom de la divinité à tête de crocodile maître des eaux où la présence de crocodiles était pour les égyptiens l’annonce d’une crue favorable. Il deviendra ensuite un dieu important dans le panthéon sous le nom de Sobek-Rê.